vendredi 20 septembre 2013

Dîner


Silas Leksa est partout bien reçu et même recherché de certains; ce n'est pas le cas de son grand ami Mjedvid, et ce n'est pas sans raison...

Hou, blogger n'a aucun intermédiaire entre trop grand et trop petit... Outre que comme ça on voit comme c'est approximatif, dites-moi: pouvez-vous me lire? Si le pouvez alors j'ai raté un examen d'une manière totalement insensée. Si ne le pouvez, j'ai rien dit. 
Du temps qu'il vivait dans le siècle, Silas Leksa jouait au cuistre; il faut peut-être expliquer qu'il cite Clément Marot: dans ce poème Silène est bourré et se casse la figure; apparemment la mythologie attribue à cet incident la rougeur du nez des alcooliques. Reste que ce pauvre Mjedvid est impardonnable. Pourtant, quiconque a déjà eu la nausée (wink) peut comprendre... Mais ce n'est pas encore comme ça que Silas Leksa est devenu moine.
Heu... maintenant que je le revois, c'est... vulgaire... L'incident de mon écriture illisible m'a ravagé de doutes quant au pouvoir figuratif des mots et des dessins.

1 commentaire:

isidore isidore a dit…

Je ne trouve pas cela illisible, et pas vulgaire non plus...
Pauvre Mjedvid. Je le pardonne, ça nous arrive à tous. On finit tous par vomir un boa sur une table bourgeoise.