lundi 26 décembre 2011

Animaux-gouttes

   C'est quelque chose d'assez bizarre: j'ai inconsciemment croisé le passage du Lurker at the Threshold de Lovecraft où Stephen Bates regarde par une fenêtre et y aperçoit les espaces extérieurs avec Il libro sull'... de Buzzati où Giorgio Capranica entrevoit dans un livre de médecine des choses ressemblant à des mollusques, symptômes d'une maladie dont il est atteint.
                                    
  
Et ça a donné ça. Je me suis aperçu récemment du "malentendu" en relisant les deux oeuvres. Ce peut paraître moche, mais ça pourrait passer pour un effet de style vu que les deux passages ont en commun de mettre très mal à l'aise... Enfin, pensez-en ce que vous en pensez si vous en pensez quelque chose.

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